Monsieur Robert Coutu

Monsieur Robert Coutu
Monsieur Robert Coutu

mardi 21 avril 2009

Collecte de sang à Montréal-Est: une réussite!

Article mis en ligne le 16 avril 2009 à 17:16

La collecte de sang annuelle du maire de la Ville de Montréal-Est, Yvon Labrosse, a eu lieu le 14 avril dernier, au Centre récréatif Édouard-Rivet, sous la supervision d’Héma-Québec.

« Je voudrais remercier les 80 donneurs qui ont participé. Comme chaque don peut aider jusqu’à quatre personnes, c’est donc 320 patients qui pourront recevoir une transfusion de sang grâce à des gens qui ont à cœur le bien-être de personnes moins chanceuses », de dire l'élu municipal, tout en remerciant les bénévoles ayant contribué à la tenue de cet événement.

Source: Journal Avenir de l'est

mardi 14 avril 2009

Être maire en 2009

La chronique de Stéphane Gendron

Stéphane Gendron14/04/2009 06h31

Les campagnes électorales des 1006 municipalités vont bientôt se mettre en branle un peu partout au Québec. Le palier de gouvernement le plus proche du peuple sera le théâtre du plus grand exercice démocratique du genre, dès novembre 2009.

Malgré l'importance des enjeux, bien peu d'électeurs peuvent correctement identifier l'élu municipal qui les représente parmi les 1 006 maires et les 7005 conseillers municipaux. Peu de citoyens font l'effort d'assister aux séances régulières des conseils le premier lundi de chaque mois. La participation aux différents scrutins témoigne d'une indifférence grandissante, comme en font foi les résultats du vote de 2005: plus de la moitié des élus ont été reportés au pouvoir sans opposition et le taux de participation est demeuré endémique, soit 45% des personnes inscrites sur la liste électorale.

Ce qui étonne encore plus, c'est la facilité avec laquelle on peut se présenter aux élections municipales: une année de résidence sur le territoire concerné et la détention de la citoyenneté canadienne suffisent. Rien de plus. Ainsi, dans plusieurs municipalités de moins de 5000 habitants, les statistiques font état d'une relative stabilité inquiétante. Il n'est pas rare de voir le «règne» de certaines familles ou d'individus. Annuellement, la Fédération québécoise des municipalités rend hommage à ces élus de 20 ou 30 ans de service. Résultat: nous retrouvons -encore aujourd'hui - des maires et des conseillers municipaux qui sont des analphabètes fonctionnels ou carrément des illettrés. Incapables de lire ou de comprendre les subtilités de la fiscalité municipale, ces gens «de service» n'ont même pas la capacité d'interpréter un rapport financier ou l'état mensuel des finances publiques. Ils ne peuvent non plus, généralement, vous expliquer l'impact d'une réglementation municipale qu'ils viennent d'adopter et se rabattent habituellement sur leur direction générale pour répondre aux questions des citoyens. Trop de ces élus issus de la génération où l'on gérait nos municipalités de façon folklorique sont aujourd'hui dépassés par les événements et font face à des défis de taille. Qu'on se le dise bien franchement: il n'y a plus de place pour ce genre d'élus en 2009.

TROP C'EST COMME PAS ASSEZ

À titre d'exemple, on a longtemps cité le cas de Granby, qui avait eu un maire ayant procédé «courageusement» au remboursement intégral de la dette municipale. Pourtant, une ville sans dettes est le plus brillant exemple d'une mauvaise gestion, puisque l'on fait payer instantanément des infrastructures qui doivent s'amortir sur une génération ou plus de contribuables. Même chose pour une municipalité qui accumule d'importants surplus budgétaires. Cette manière de gérer fait la démonstration que les élus n'ont aucune vision de développement, mais qu'ils s'entêtent à trop taxer les contribuables.

L'administration municipale moderne exige plus qu'un simple concours de popularité. La sempiternelle promesse «d'être à l'écoute du citoyen» sonne creux. La mairie incarne bien plus que ces sornettes électorales. On ne gère plus une municipalité comme on le faisait dans «l'temps où l'on comptabilisait les comptes de taxes à la mitaine». À vivre dans le passé, on finit par en oublier le présent. Et le présent, c'est 300 municipalités dévitalisées au Québec, 200 villes mono-industrielles, et des centaines d'autres en voie de disparition. Voilà pourquoi compétence, formation académique et vision sont des éléments essentiels que nous devons retrouver chez nos élus municipaux. Rien d'autre.

mardi 7 avril 2009

Le coût des maires d'arrondissement

Article mis en ligne le 3 avril 2009 à 0:00 par Philippe Beauchemin

Stabilité pour certains, augmentation pour d'autres en 2009


Au regard des salaires pour l'année 2009 de certains maires d'arrondissement de la Ville de Montréal, on constate une certaine stagnation dans les rémunérations des élus, à l'exception de quelques-uns d'entre eux, dont le salaire augmente de façon significative.
C'est ainsi que le maire de l'arrondissement Anjou, Luis Miranda, voit son salaire augmenter en même temps que ses fonctions au sein de l'administration Tremblay. Lui qui, en plus d'être maire d'Anjou (10 856 $), est maintenant membre du conseil d'agglomération (10 160 $), du conseil exécutif (38 539 $) et du conseil de la Ville-centre (48 851 $), voit son salaire annuel passera de 74 947 $ à 108 406 $. Avec une population de 40 891 citoyens à Anjou, cela équivaut à 2,65$ par résident.

Dans l'est de l'île, il s'agit, et de loin, de la plus grande augmentation salariale présente chez les maires d'arrondissement.

Michel Bissonnet, maire de Saint-Léonard, recevra également un salaire supérieur cette année. Entré en fonction le 26 septembre dernier, il a reçu 17 262 $ pour la fin de l'année 2008. S'il avait été en poste pour toute l'année, il aurait ainsi gagné un salaire de 65 134 $. En 2009, il recevra 72 190 $, provenant essentiellement de ses fonctions de maire d'arrondissement (16 283 $), de maire suppléant (1629 $) et de membre du conseil de ville (48 851 $). Cela donne donc 0,85 $ par personne (population de 84 833 citoyens).

Autre salaire important sur l'île de Montréal, celui du maire de Rosemont—La Petite-Patrie, André Lavallée, qui gagne cette année 133 000$, ce qui équivaut à 1,00 $ par résident de Rosemont (133 618 Rosemontois).

Stabilité

À Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles, le maire Cosmo Maciocia voit son salaire de 2008 reconduit pour 2009.

Tout comme l'an dernier, il recevra donc un salaire de 121 433 $, lui qui est conseiller de la Ville (48 851 $), membre du conseil exécutif (38 439 $), maire d'arrondissement (23 883 $) et membre du conseil d'agglomération (10 160 $). Avec 105 372 résidents à RDP/PAT, M. Maciocia « coûte » donc 1,15 $ à ses citoyens.

La mairesse de Mercier—Hochelaga-Maisonneuve, Lyn Thériault, commandera en 2009 un salaire à peine supérieur à celui de 2008. Elle recevra donc 88 321 $ pour cette année (48 851 $ pour être conseillère de la Ville, 23 883 $ en tant que mairesse d'arrondissement, 10 160 $ pour être membre du conseil d'agglomération et 5427 $ pour siéger à la commission permanente du développement culturel et de la qualité de vie du conseil municipal), comparativement à 87 974 $ l'an dernier. Il s'agit d'une véritable « aubaine » pour les 129 110 citoyens de cet arrondissement (0,68 $ par résident).

À Montréal-Nord, Marcel Parent commandait un salaire de 119 956 $ en 2008. En 2009, son salaire sera également 119 956 $ (1,43 $ par citoyen).

Pour ce qui est de Montréal-Est, le maire Yvon Labrosse recevra cette année un salaire de 62 331,96 $, soit environs 15,60$ par citoyen.



Montréal-Est adhère aux Fleurons du Québec

Article mis en ligne le 6 avril 2009 à 15:43

La Ville de Montréal-Est annonce son adhésion au programme de classification horticole de Fleurons du Québec. Créée en 2006, cette initiative reconnaît les efforts d'embellissement durable des municipalités québécoises. La cote de classification horticole, qui va de 1 à 5 fleurons, est attribuée pour trois ans à la suite d'une évaluation professionnelle qui aura lieu cet été.

La municipalité s’engage dans un processus d’amélioration continue du cadre de vie et veut motiver l’ensemble de ses citoyens à faire de même. En trois ans, 219 municipalités ont obtenu leurs fleurons du Québec.

Les évaluateurs visiteront 60 % du territoire et analyseront les aménagements horticoles et paysagers qui sont à la vue du public. Le pointage tiendra compte des éléments suivants: efforts de la municipalité (31 %), efforts des résidents (27 %), efforts des institutions (18 %), efforts des industries et des commerces (14 %), initiatives communautaires et développement durable (10 %).

Les Fleurons du Québec peuvent être affichés dans les entrées municipales et leur valeur augmente en fonction de leur nombre. Ils constituent une reconnaissance publique des efforts de la collectivité pour un environnement plus propre.

Information: www.fleuronsduquebec.com.

Dévoilement du comité organisateur des 100 ans de Montréal-Est

Article mis en ligne le 6 avril 2009 à 15:41

Le comité organisateur des festivités du 100e anniversaire de Montréal-Est est déjà au travail et compte bien finaliser l'horaire des activités d'ici le 14 septembre. D'ailleurs, à chaque mois de l'année 2010, des événements auront lieu sous un thème différent. Les dirigeants de la Ville informent aussi que le moment fort des célébrations sera du 4 juin, journée marquant les 100 ans de la municipalité, au 4 juillet 2010. Toutefois, dès le 4 juin de cette année, il y aura une activité inaugurale afin de mettre au fait la population de cet anniversaire.

Un camion de Montréal-Est à l'Expo Grands Travaux

Article mis en ligne le 7 avril 2009 à 15:25

Un camion servant à des travaux d’aqueduc et acheté par la Ville de Montréal-Est était au Stade olympique, les 3 et 4 avril derniers, dans le cadre de l’Expo Grands Travaux.

« Pour la prise en charge de l’entretien de notre réseau d’aqueduc, il fallait se doter d’un camion équipé qui répondait à nos besoins. (…) Montréal-Est étant une ville industrielle, nous sommes très sensibilisés au fait de maintenir un environnement sain et nous devons faire passer notre message par l’exemple. Le présent véhicule est plus petit que ce qu’on voit sur le marché. « Par conséquent, il est plus économique à l’achat, à l’entretien et moins énergivore. Il fournit de l’électricité, de l’air comprimé et la boîte chauffée sert d’atelier sur les lieux de travail. Ses batteries prennent le relais lorsque le système "autostart" coupe automatiquement le moteur après trois minutes d’arrêt », de dire le maire Yvon Labrosse. Le camion aqueduc fera le tour des municipalités du Québec comme démonstrateur avant de faire son apparition dans les rues de Montréal- Est.

- Source: bureau du maire de Montréal-Est