Monsieur Robert Coutu

Monsieur Robert Coutu
Monsieur Robert Coutu

samedi 3 novembre 2007

Canterm Terminaux Canadiens inc. reçoit son certificat d'autorisation

Projet de construction de réservoirs additionnels de produits liquides
par Steve Caron Voir tous les articles de Steve Caron
Article mis en ligne le 2 novembre 2007 à 11:39

Canterm Terminaux Canadiens inc. reçoit son certificat d'autorisation
Projet de construction de réservoirs additionnels de produits liquides
La ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, a délivré un certificat d'autorisation à la compagnie Canterm Terminaux Canadiens inc. pour qu'elle puisse aller de l'avant avec son projet de construction de réservoirs additionnels de produits liquides.

Le projet entériné est celui qui a subi des transformations, faisant passer le nombre de réservoirs de 18 à 14, à la suite de demandes des citoyens lors des consultations publiques et des rencontres du Bureau des audiences publiques de l'environnement (BAPE). Le ministère a autorisé la construction de 12 réservoirs et deux sont en attente d'approbation, soit ceux situés à proximité des coopératives d'habitation Le Fleuve de l'espoir et Les rives du Saint-Laurent.« C'est une très bonne nouvelle. Nous sommes satisfaits de la décision de la ministre », commente Normand Tremblay, directeur environnement, santé et sécurité chez Canterm Terminaux Canadiens inc.D'ici quelques jours ou semaines, des ouvriers prépareront le terrain pour ce que M. Tremblay appelle la phase des travaux d'ingénierie. Quant aux travaux d'infrastructures, la construction et la mise en place des réservoirs, ils devraient débuter dès le printemps prochain.

Les travaux sont prévus sur quatre ou cinq ans, à raison de trois ou quatre réservoirs par année.Pour les questions relatives à la santé, la sécurité et l'aspect visuel des lieux, le directeur soutient que la compagnie se conformera aux dispositions du ministère et qu'elle entend procéder dans la transparence.Depuis le début du processus, nous avons tenu plusieurs rencontres d'information, nous travaillons de concert avec l'Association industrielle de l'est de Montréal, nous siégeons sur divers comités, dont le Comité mixte municipal industriel, et nous avons créé un comité de liaison. Les citoyens peuvent nous joindre à tout moment, fait remarquer M. Tremblay.

L'Alliance pour une gestion des interfaces industrielles/résidentielles responsable (AGIIRR) estime que le gouvernement du Québec aurait dû attendre qu'un cadre réglementaire prévoyant des zones de transition entre les industries potentiellement dangereuses et les habitations soit mis en place.Une des trois revendications de l'AGIIRR concerne l'établissement de zones de transition. Or, le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), dans son rapport d'analyse du projet Canterm, ayant servi de base à la décision gouvernementale, dit en substance : « En l'absence de zone de transition, la cohabitation entre l'industrie et les résidents fait ressortir déjà, avant même la réalisation du projet, plusieurs nuisances existantes. (…) L'analyse met toutefois en évidence la limite d'application des lois et règlements en vigueur pour tenir compte d'éléments sensibles comme la gestion des risques, l'acceptation sociale et les responsabilités municipales comme l'aménagement du territoire.

Les défis dépassent la simple application réglementaire et nécessiteraient l'utilisation d'outils ou de critères malheureusement non développés encore. »Dans ce contexte, les revendications de l'AGIIRR dépassent le seul projet de Canterm. L'étude des conclusions du rapport sur l'accident pétrochimique de Buncefield, en Angleterre, sera pertinente non seulement pour les deux réservoirs situés le plus près des résidences, mais aussi pour l'ensemble du site puisque lors de l'accident, les effets de l'explosion se sont fait sentir à une distance d'un kilomètre.L'AGIIRR réitère ses trois recommandations principales comme facteur déterminant de la santé et de la sécurité : - l'adoption d'un cadre réglementaire concernant l'aménagement de zones de transition autour des installations à risque d'accident industriel majeur ;- la création de structures de concertation pour permettre la gestion et la transformation des interfaces industrielles/résidentielles ;- l'instauration d'un moratoire sur toute construction qui ferait en sorte qu'une résidence se trouve dans le rayon d'impact du pire scénario alternatif d'une installation générant des risques d'accident industriel majeur.

Des propos que partage la députée de La Pointe-de-l'Île, Francine Lalonde. « Je vais continuer d'appuyer les citoyens dans leur lutte, tant qu'ils n'auront pas eu gain de cause. Je suis confiante qu'ils y parviendront tôt ou tard puisque, déjà, un comité interministériel a été mis en place par le gouvernement du Québec, ainsi qu'un comité mixte Ville de Montréal – Ville de Montréal-Est, ayant pour mandat de traiter les questions relatives à la mise en place d'une zone tampon. Il aurait toutefois fallu attendre les résultats de ces comités de travail et l'établissement d'un cadre réglementaire clair avant d'accepter le projet de Canterm. C'est pourquoi la décision du MDDEP est prématurée. »

Il est évident que je vais continuer de m'impliquer dans ce dossier pour le bénéfice des citoyens de la ville de Montréal-Est

samedi 20 octobre 2007

COMPLÉMENTARITÉ RURALE-URBAINE- La ministre Normandeau annonce création d'un groupe de travail sur la complémentarité rurale-urbaine

Montréal, le 19 octobre 2007 - La Vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, madame Nathalie Normandeau, a annoncé hier la création d'un groupe de travail sur la complémentarité rurale-urbaine et alloué à cette initiative une aide financière de 450 000 $ sur 3 ans. Cette aide financière s'inscrit dans le cadre d'une nouvelle mesure de la Politique nationale de la ruralité touchant l'expérimentation et le transfert d'initiatives porteuses de développement. Cette mesure prévoit la création de groupes de travail en vue d'explorer, à l'intention des communautés rurales, des initiatives ou des secteurs d'activité qui viendront appuyer le développement rural de demain.Cette annonce a été faite dans le cadre de l’événement national portant sur la complémentarité rurale urbaine et l’occupation dynamique du territoire, organisé par l'UMQ. Plus de 100 personnes ont participé à cet événement dont plusieurs élus et administrateurs municipaux, représentants du gouvernement.D’entrée de jeu, le maire de Sherbrooke et président de l’UMQ, monsieur Jean Perrault, a mis la table en présentant les enjeux de la complémentarité rurale urbaine et de l’occupation dynamique du territoire : « De l’avis de l’UMQ, il est urgent, pour notre avenir collectif, de poser un regard global et nouveau sur l’organisation du monde rural et, aussi, de poser la question centrale des relations avec le monde urbain ».

Ce fut également une excellente occasion pour moi de rencontrer madame Nathalie Normandeau ainsi que son attaché de presse, monsieur Jonathan Trudeau pour leur faire part de mes inquiétudes envers nos dirigeants et de la mauvaise gestion de la ville de Montréal-Est en général. Des discussions sont prévues prochainement avec madame Guylaine Marcoux du MAMR afin d'y trouver des pistes de solutions efficaces et de procéder à une intervention afin que les réglements soient respectés au bénéfice de tous nos citoyens.

http://www.umq.qc.ca/publications/article.asp?ID=30085

jeudi 18 octobre 2007

Des élus de Montréal-Est boycottent le conseil

Le jeudi 18 octobre 2007

Éric Clément
La Presse

Engluée dans un marasme politique et administratif depuis des mois, la Ville de Montréal-Est a connu une autre crise lundi dernier alors que trois élus du parti du maire Yvon Labrosse ont boycotté le conseil municipal qui a dû être annulé, a appris La Presse.

Une douzaine de citoyens sont restés pantois en arrivant à l'hôtel de ville: la séance du conseil n'aurait pas lieu. «Manque de quorum», a dit le directeur des communications Daniel Fournier. «Du jamais vu», a constaté le conseiller de l'opposition Roger Lachapelle.Le greffier de la ville de 3800 habitants, Marcel Minville, avait prévenu les élus que la séance n'aurait pas lieu. «Monsieur le maire se chargera d'accueillir les citoyens pour les informer de ce fait», leur écrivait-il. Pourtant, M. Labrosse brillait par son absence lundi soir et quand La Presse lui a demandé, mardi, les raisons pour lesquelles les conseillers de son parti lui avaient fait ce coup, il a dit qu'il n'en savait rien.Les élus Sylvie Dauphinais, Alain Dion et Monique Major ont boycotté le conseil à cause de plusieurs points mis à l'ordre du jour par le directeur général par intérim, Jean-Nicolas Thibodeau, notamment des dépenses et la fin d'emploi d'un cadre.Mme Dauphinais a dit à La Presse qu'elle justifiait son absence parce que «des points» l'avaient rendue «malade» et qu'elle devait «réfléchir». «Le maire va comprendre à la prochaine assemblée pourquoi je ne suis pas venue», dit-elle. Le conseiller Alain Dion a dit aussi qu'il avait été «épuisé» par l'étude de l'ordre du jour durant la fin de semaine dernière.Le citoyen Mario Bordeleau, qui s'était déplacé en vain lundi, a dit à La Presse être surpris que les conseillers «si malades» soient allés à un 5 à 7 mardi soir. «Ils étaient malades la veille, mais le lendemain, ils allaient mieux», a-t-il dit. Un conseil extraordinaire d'arrondissement aura lieu mardi à 19h.Cette péripétie hors de l'ordinaire n'est que la dernière d'une longue série. Rappelons qu'en février, le greffier Marcel Minville a été condamné par la Cour du Québec à payer 15 000$ d'amende pour avoir exercé illégalement la profession d'avocat. Toujours en poste, il a porté la cause en appel.L'hiver dernier, le ministère des Affaires municipales et des Régions (MAMR) apprenait que des proches de conseillers municipaux avaient été embauchés sans passer par une procédure dûment établie. Il conseillait au maire de changer certaines pratiques.L'été dernier, le Ministère a forcé la Ville à annuler un règlement d'emprunt pour refaire une avenue car Montréal-Est n'a pas respecté la loi en ne permettant pas aux citoyens de signer un registre référendaire jusqu'à 19h. Cet automne, la Ville a congédié son directeur général, André Billette, à quelques jours d'une audience de la Commission des relations de travail, sans attendre que le CRT se penche sur le dossier. Pourtant, Montréal-Est a toléré pendant un an que le cadre soit payé 110 000$ par an à ne rien faire.Autre bizarrerie: la Ville n'a toujours pas présenté son rapport financier de... 2006 au Ministère malgré les demandes régulières de Québec.Le conseiller Lachapelle, qui réclame la mise en tutelle de Montréal-Est, se plaint depuis des mois au Ministère d'irrégularités, notamment le fait que les élus n'aient pas accès à des documents. «J'attends depuis des mois, dit-il, les détails du bilan de la Semaine de festivités de juin 2006, lourdement déficitaire.» Il réclame en vain des explications sur des dépenses. «Malgré plusieurs demandes, cela nous est toujours refusé, dit-il. C'est inacceptable ce genre d'administration. Malgré nos plaintes au Ministère, on ne voit pas d'effets. Selon les expressions du maire «C'est moi le boss, je n'ai peur de personne, j'ai des bons contacts à Québec». Ce qui se passe à Montréal-Est est pire qu'à Outremont.»Pour le citoyen Roland Rhéaume, qui vient à tous les conseils, il est temps que Québec bouge. «Il n'y a pas de transparence à Montréal-Est. On se plaint, on cogne à la porte du Ministère, mais ça ne répond pas», dit-il.Au MAMR, le porte-parole de Nathalie Normandeau, Jonathan Trudeau, a dit à La Presse que le Ministère va «entrer en contact avec Montréal-Est pour soutenir la Ville et s'assurer que les règlements sont bien respectés».

lundi 24 septembre 2007

Le directeur de Montréal-Est congédié... pour le moment

Le dimanche 23 septembre 2007
Éric Clément
La Presse

Le directeur général de Montréal-Est, André Billette, absent de l'hôtel de ville depuis le 20 septembre 2006 mais qui recevait toujours son salaire de 110 000$ par année et son allocation pour voiture, a été congédié lundi. Mais c'est la Commission des relations du travail qui tranchera dans ce dossier.

Le conseil municipal de Montréal-Est a adopté une résolution mettant fin au lien d'emploi de M.Billette. Les deux conseillers de l'opposition, Roger Lachapelle et Robert Coutu, ont voté contre.Ne s'entendant plus avec le maire Yvon Labrosse, André Billette était en congé maladie depuis un an. Son contrat devait prendre fin le 31 décembre. Le 24 mai, son avocat avait avisé la Ville que son client réclamait un salaire de 125 074$, rétroactivement au 1er janvier 2006.Le 16 juillet dernier, le maire a dit au conseil municipal qu'il ne voulait plus que M. Billette revienne parce qu'«il y avait des problèmes avec lui, de l'ouvrage qu'il ne pouvait pas faire, alors c'était difficile, il fallait le talonner tout le temps».Cette semaine, M. Labrosse a commenté à La Presse la décision de congédier M. Billette. «Il n'avait pas le tour avec l'administration, mais c'était un très bon ingénieur, a-t-il dit. Son salaire et tout ce qui y était relié, on a arrêté ça lundi. Le dossier n'avançait pas. Mais si je me mets à la place de M. Billette, j'aurais peut-être fait pareil. Il était payé...»Les deux parties vont se retrouver devant la Commission des relations du travail (CRT) la semaine prochaine. La CRT devait déjà se pencher sur une «plainte de suspension ou de diminution de traitement» et une «plainte de destitution en vertu de la Loi sur les cités et villes», formulées par M. Billette. Elle se penchera aussi sur le congédiement prononcé par résolution lundi.«La Commission décidera si le congédiement est valable, explique Julie Lagacé, conseillère en communication de la CRT. Dans ce cas, le commissaire peut décider deux choses: la réintégration ou une compensation. Le commissaire rendra sa décision avant la fin de l'année.»

dimanche 19 août 2007

Le torchon brûle entre le maire et le directeur de Montréal-Est

par Vincent Lanctôt

Absent depuis le 20 septembre 2006, le directeur de la Ville de Montréal-Est, André Billette, est en conflit avec le maire Yvon Labrosse. Une audience devant la Commission des relations du travail (CRT) est d’ailleurs prévue le 21 août à ce sujet.

Selon les informations obtenues par le journal La Presse, André Billette a quitté ses foncions en septembre dernier en raison d’un congé de maladie. En mars 2007, son médecin lui aurait prescrit un retour progressif au travail, mais le maire de Montréal-Est l’aurait avisé de ne pas se représenter au travail. Depuis ce temps, le directeur de la Ville reçoit son salaire régulier, de même que son allocation voiture.Lors de la dernière séance du conseil de ville, Yvon Labrosse a déclaré ne plus vouloir de M. Billette : « Il y avait des problèmes avec lui, de l’ouvrage qu’il ne pouvait pas faire, alors c’était difficile, il fallait le talonner tout le temps. »

Conseiller indépendant au conseil, Robert Coutu espère pour sa part que la situation se règlera rapidement, notamment en raison des coûts engendrés par la suspension de M. Billette. « Je ne suis pas au courant de tout, je ne suis pas là tout le temps. Ça se passe entre le maire et le directeur de la Ville. Mais entre-temps, j’aimerais qu’il reste, car on ne m’a pas convaincu qu’il méritait de ne plus travailler pour la Ville », a-t-il souligné.

Au cours des derniers mois, une « plainte de suspension ou de diminution de traitement » a été déposée à la CRT. Le dossier fera l’objet d’une audience le 21 août.Directeur des travaux publics de la Ville de Montréal-Est de 1996 à 2001, André Billette a occupé un poste de directeur Aqueduc et égouts durant la période de la fusion montréalaise, de 2001 à 2003. En 2004, le comité de transition a confié à M. Billette la tâche de réorganiser la Ville de Montréal-Est en prévision de la défusion, le 1er janvier 2006. André Billette est directeur général de la Ville depuis la défusion.

samedi 4 août 2007

110 000$ pour rester chez lui à Montréal-Est

Le samedi 04 août 2007
Éric Clément
En conflit avec le maire Yvon Labrosse, le directeur général de Montréal-Est, André Billette, est absent de l'hôtel de ville depuis le 20 septembre 2006 mais reçoit toujours son salaire, 110 000$ par année, et son allocation de voiture, a appris La Presse.
Directeur des travaux publics à Montréal-Est de 1996 à 2001 puis directeur Aqueduc et égouts à la Ville de Montréal de 2001 à 2003, André Billette s'est vu confier la réorganisation de Montréal-Est en 2004 par le comité de transition puis est devenu directeur général de la ville défusionnée le 1er janvier 2006.Neuf mois plus tard, le maire et son directeur général ne s'entendent plus. André Billette part en congé de maladie. Puis, début mars, son médecin lui prescrit un retour progressif au travail: deux jours par semaine au début. Mais le 5 mars, le maire Labrosse interdit au directeur général de revenir à son poste, l'avisant qu'il en est «dispensé» mais qu'il recevra son «salaire régulier et autres avantages reliés à (son) emploi, incluant l'allocation voiture».Le 23 avril, M. Billette écrit au maire pour lui dire que, s'il ne veut pas qu'il revienne, il pourrait au moins faire du «télétravail» et accomplir des tâches depuis son domicile. Il demande au maire de bien vouloir lui installer une connexion informatique afin d'être relié en permanence à la mairie. Il veut aussi qu'on lui apporte un télécopieur et une imprimante, et que «les membres de l'équipe de gestion soient équipés de caméra numérique afin de faire des rencontres par l'intermédiaire de vidéoconférences».Le 3 mai, le maire demande à M. Billette que son avocat entreprenne «la négociation qui s'impose», afin qu'il quitte définitivement son poste. Selon M. Labrosse, «la majorité du conseil» estime qu'il n'est plus en mesure d'exercer la fonction de directeur général. Le même jour, M. Billette répond aux «membres du conseil municipale (sic)» avec cette phrase: «Est-ce en ma capacité physique ou ma capacité mentale ou ma performance questionnable pour accomplir cette fonction» (sic).Le 16 juillet, à la réunion du conseil municipal, Yvon Labrosse a dit au public qu'il ne «voulait plus» de M. Billette car «il y avait des problèmes avec lui, de l'ouvrage qu'il ne pouvait pas faire, alors c'était difficile, il fallait le talonner tout le temps».Le 24 mai, l'avocat d'André Billette a avisé la Ville que son client réclamait, compte tenu de plusieurs règles de rémunération, un salaire de 125 074$ rétroactivement au 1er janvier 2006.

Fin du contrat

Le maire a répliqué la semaine dernière en informant M. Billette que son contrat prendrait fin le 31 décembre prochain. Mais M. Billette a répondu en sommant la Ville de «rétracter sa menace de mettre fin à son contrat de travail», une décision illégale selon lui. Les deux parties se retrouveront le 21 août devant la Commission des relations du travail.M. Billette n'a pas souhaité commenter cette affaire. Par contre, les conseillers de l'opposition, Robert Coutu et Roger Lachapelle, ont dit à La Presse leur mécontentement de voir perdurer cette situation, «qui coûte cher à la Ville de Montréal-Est».

Pour joindre notre journaliste: eric.clement@lapresse.ca

vendredi 3 août 2007

Les travailleurs de Xstrata mettront fin à leur grève

Après plus d'un mois de grève, les 430 travailleurs de l'Affinerie CCR appartenant à Xstrata Cuivre, dans l'est de Montréal, ont entériné dans une proportion de 73% l'entente de principe conclue la fin de semaine dernière par leur comité de négociation.
Les travailleurs de l'usine CCR avaient déclenché la grève le 11 juin dernier. Le retour au travail se fera de façon progressive au cours des prochains jours, a indiqué mercredi le syndicat dans un communiqué.
Le nouveau contrat de travail, d'une durée de trois ans, prévoit des hausses salariales de 6%.
Le comité de négociation est «particulièrement fier» des gains obtenus pour le régime de retraite des travailleurs, a souligné le président du syndicat, Denis Matteau.
Ces négociations ont aussi permis d'améliorer le régime des syndiqués qui sont déjà à la retraite.

dimanche 24 juin 2007

Bonne St-Jean / Bonne fête monsieur Labrosse

Nous en sommes déjà à célébrer notre fête nationale en nous rappelant que notre premier ministre , Jean Charest et monsieur le maire Yvon Labrosse ( 75 ans ) célèbrent aujourd'hui leur anniversaire de naissance. Avec ses réalisations à son actif depuis 1982, il en tiendra à la population d'en juger des performances de monsieur Labrosse au prochaines élections prévues en novembre 2009. À ce jour et à partir du livre de l'histoire de la ville de Montréal-Est, voici les principaux événements sous le règne de celui-ci;

· Fermetures d’usines à cause du contexte économique difficile
· Application du triglyphe comme nouveau symbole de la ville de Montréal-Est
· Aménagement du parc Marien et John M.-Kennedy en 1983
· 75e anniversaire de Montréal-Est en 1985
· Inauguration officielle de l’Office municipal d’Habitation de Montréal-Est en 1986 ( Résidence Joseph-Versailles ) pour les aînés de la ville
· Première pelletée de terre du parc industriel le 28 juin 1989 pour apporter un nouvel essor aux suite aux années de récession économiques et de cette période d’incertitude.
· Nouvel hôtel de ville en 1991 suite au tremblement de terre de 1988

Selon les informations à partir du site de Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Montr%C3%A9al-Est , Montréal-Est est une ville industrielle, ce qui signifie qu'elle ne comprend presqu'entièrement que des installations à vocation industrielle : des raffineries de pétrole, des usines pétrochimiques et des usines chimiques. Ce sont les plus vieilles installations de raffinage pétrolier du Canada, datant de 1913. Royal Dutch Shell raffine 161 000 barils de pétrole par jour, Petro-Canada en raffine 160 000, Gulf en raffine 64 000 et Petromont en raffine 26 000 .l'Impériale pourrait s'installer à Montréal Est bientôt. À Montréal-Est, il est raffiné 400 000 barils de pétroles par jour environ. Cette ville fait partie de l'agglomération de Montréal. À cause de cette forte concentration d'usine, la qualité de l'air est la pire de toute l'île de Montréal. Il y a 3 raffineries du Canada dans cette municipalité.

La ville de Montréal-Est compte 3 527 habitants sur 12,36 km². Son maire est Yvon Labrosse. En 2002, cette ville est fusionnée avec la ville de Montréal. Mais le 1er janvier 2006, à la suite d'un référendum, Montréal-Est reprend son statut de ville indépendante. C'est d'ailleurs la seule commune de la moitié est de l'île qui choisit d'annuler sa fusion avec Montréal.
Il est à noter que le maire Labrosse travaille conjointement avec les compagnies pétrolières, étant lui-même un ancien employé de la raffinerie de Shell à Montréal-Est. Yvon Labrosse ne fait pas l'unanimité puisqu'en 2007, 2 de ses conseillers ont démissionné à cause de ses pratiques plus que douteuses.

Autres grandes réalisations du maire Labrosse:

-Garder en poste un greffier qui signe les documents en tant qu'avocat alors qu'il ne l'est plus.
-Nommer un parc en l'honneur de son père, le légendaire René Labrosse.
-Faire distribuer une lettre appuyant un candidat dans une élection provinciale. Il est à noter que cette lettre était à titre personnel et que le maire ne le faisait pas en tant que maire. Évidement, ça n'a rien à voir avec le fait que le candidat est à l'emploi de la ville.
-Continuer le déversement d'une partie des égouts de la ville de Montréal-Est dans le fleuve directement.
-Appuyer le projet de stockage de produits dangereux près de résidences alors que la population touchée s'y opposait.
-Inviter des compagnies polluantes à s'installer à Montréal-Est.
-Garder la ville dans la plus grande noirceur en refusant de progresser.

Avec plus de 25 ans en politique active, il s'avère qu'il faudra préparer adéquatement la relève, assurer une excellente transition pour l'avenir de toute la population civile et corporative de la ville de Montréal-Est. Il y a vraiment lieu d'y améliorer grandement son image étant une ville intéressante et compétitive pour les investisseurs tout en assurant une excellente qualité de vie pour tous les résidants. Bonne fête monsieur le maire !!!

mardi 12 juin 2007

Xstrata/430 employés de l'usine se mettent en grève à Montréal-Est

J'ai envoyé un courriel à monsieur le maire Labrosse ce soir afin de s'impliquer dans ce dossier important pour la ville de Montréal-Est. Je lui ai suggère d'ajouter cet item à notre agenda de notre prochaine assemblée au conseil. Nous devrions s'impliquer activement afin de trouver une solution ensemble pour le bénéfice de la compagnie et dans le but ultime de protéger les emplois existants. Nous devons absolument éviter de vivre la même situation que Wolverine et suivre la situation de près. J'espère que cela portera fruit...Merci et bonne semaine
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COMMUNIQUÉ
(AWP/afx) - Quatre cent trente employés du géant minier suisse Xstrata ont déclenché une grève lundi dans une usine d'affinage de Montréal pour une période indéfinie, ont annoncé le syndicat et la compagnie dans des communiqués séparés.
La grève à l'usine d'affinage CCR de Xstrata Copper Canada dans l'est de Montréal a été déclenchée à 18H00 GMT (20h00 HEC) après une rencontre de médiation qui, selon le syndicat des Métallos, «n'a pas permis de dénouer l'impasse».
Mais d'après Xstrata, c'est l'exécutif syndical qui «a décidé de rompre les négociations en présence d'un conciliateur et de déclencher la grève».
Les négociations pour le renouvellement de la convention collective, échue depuis le 31 mai dernier, «achoppent sur l'amélioration du régime de retraite et les augmentations de salaires», a indiqué le syndicat. Les employés syndiqués avaient refusé le 1er juin les offres du groupe dans une proportion de 92%.
«La compagnie ne voulait pas bouger d'un iota. Elle n'était ouverte qu'à des réaménagements de sa proposition initiale. Cela n'a pas sens. Le marché du cuivre n'a jamais été aussi bon. C'est à notre tour d'avoir une part de la richesse produite par cette compagnie multinationale», ont déclaré des représentants du syndicat dans le communiqué.
Xstrata a réfuté cet argument. «L'industrie métallurgique est une industrie cyclique qui est indépendante de l'industrie minière. Nous avons connu une forte baisse de nos recettes cette année et nous prévoyons peu d'amélioration au cours des prochaines années. Nous devons continuer à planifier ensemble pour le long terme», a déclaré le directeur de l'usine, Bruce Dumville.
La direction a mis en place un plan d'urgence «qui couvre toutes les éventualités dans le but de protéger les actifs de l'entreprise et de ses clients», tout en assurant que son «objectif demeure bien sûr de signer une nouvelle convention collective».
«Il nous est impossible de dire à ce stade-ci combien de temps la grève durera et donc quel sera l'impact sur l'affinerie», a ajouté M. Dumville.
Aucune nouvelle rencontre n'est prévue avec le syndicat, selon Xstrata, qui est devenu propriétaire de cette affinerie lorsqu'il a racheté l'an dernier le canadien Falconbridge, ex-numéro trois mondial du nickel, pour plus de 20 milliards de dollars américains.
afx/rp
(AWP/12 juin 2007 07h51)

dimanche 3 juin 2007

Inauguration de la bibliothèque de Montréal-Est / Micheline-Gagnon

Les membres du conseil, l'administration, parents et amis avons été invités à participer à l’inauguration de la bibliothèque Micheline-Gagnon le lundi 28 mai 2007 dernier . L' horaire de la soirée fut marqué par le dévoilement de la plaque et de la photo accompagné d'un léger goûter à la salle de conférence de la bibliothèque. Nous avons passé une belle soirée en soulignant et en discutant de l'implication de cette dame avec 16 ans d'expérience à titre de première dame conseillère municipale de la ville de Montréal-Est et de toute ses autres implications au niveau social avec l'AFEAS entre autre. Ce fut aussi un grad plaisir de rencontrer les anciens conseillers en monsieur Dutremble, monsieur Durocher et monsieur Baudet entre autre.

J'ai eu le privilège de la cotoyer tous les jours depuis notre déménagement dans notre nouvelle maison sur la rue Providence depuis le mois de juin 2005 pour ensuite y habiter en janvier 2006. Nous la considérons comme une grande dame et une excellente voisine à discuter et à s'entraider. Elle va beaucoup nous manquer et je suis très fier pour toute sa famille à l'occasion de cette inauguration tout à fait spéciale à une dame qui le mérite bien !!! Merci et au plaisir de vous rencontrer.

jeudi 3 mai 2007

Construction d'un nouvel édifice à la raffinerie Shell de Montréal-Est

Tous les membres du conseil et de l'administration de la Ville de Montréal-Est furent invités à participer à la première pelletée de terre pour la construction d'un nouvel édifice administratif en présence de nombreux responsables et invités avec Monsieur Bob Baird, directeur général de la raffinerie Shell de Montréal-Est. Cet édifice va répondre aux principes du développement durable et les principaux intervenants sont vraiment fiers d'y adhérer. L'événement s'est déroulé ce jeudi 3 mai à 14 h 30, en présence de distingués invités, à l'édifice Pecten situé au 10501, rue Sherbrooke Est. Les travaux de constructions devraient se terminer à la fin 2007 pour occuper le nouvel édifice de plus de 60 000pi2 répartis sur 3 étages au début 2008.

Monsieur Baird était accompagné de messieurs Réal Gagnon et Robert Guertin de Produits Shell Canada et de monsieur le maire Yvon Labrosse pour souligner l'événement. C'est avec plaisir qu'ils nous ont fournis des explications sur ce nouveau bâtiment de trois étages à la fine pointe de la technologie.

Les médias locaux étaient sur place et il y a eu prise de photo officielle au chantier.

samedi 21 avril 2007

Fleuve de l'espoir - Rencontre avec les citoyens et les conseillers de la Ville de Montréal-Est

Ce fut un grand plaisir de rencontrer les principaux responsables et citoyen(e)s de la coopérative le fleuve de l'espoir le 17 avril dernier à l'occasion de leur rencontre régulière. Messieurs les conseillers Roger Lachapelle et Alain Dion ainsi que moi-même étions présents afin de mieux connaître leurs besoins et leurs attentes à travers un sondage effectué à l'interne et autres sujets de discussion partagés au cours de cette soirée. Nous soumettrons le resumé du sondage et des demandes au conseil de la Ville de Montréal-Est afin d'améliorer l'ensemble du parc Kennedy et des environs dans les prochaines semaines de l'été 2007 . Il fut intéressant également de discuter des enjeux et de la sécurité sur la rue Notre-Dame, des préoccupations au niveau des personnes handicapés et de la propreté et de l'aménagement général du parc. Il va sans dire que nous devons respecter nos budgets au niveau des loisirs et que nous sommes tout à fait convaincus des bénéfices de cette rencontre car nous serons en mesure de répondre à leurs demandes spécifiques tout à fait raisonnable et réalisables. Merci et bonne semaine.

dimanche 15 avril 2007

Virage à droite - Ville de Montréal - Carol Richard

Monsieur Richard,
Je ne suis pas du tout d'accord avec votre réponse. Le virage à droite est permis partout en Amérique du Nord sauf à Montréal !!! Permettez-moi de vous inviter à voyager un peu plus à l'extérieur de la Ville de Montréal pour en constater que les bienfaits de cette introduction. Les piétons et cyclistes collaborent et ce n'est qu'une question d'éducation et de communication. Avez-vous pensé à l'impact des gaz à effet de serre à attendre quand le véhicule attend la lumière ? aux accidents provoqués par ceux qui voyagent ? et qui sont habitués ou non (?) de tourner à droite !!! . La population est vieillissante partout et les gens de Montréal ne sont pas différents ou ne fassent pas exception des autres habitants du 450 ou d'ailleurs dans la province, au Canada et même aux USA.

Je vous laisse réfléchir là-dessus et svp prendre action afin de nous faire honneur !!! Je vous suggère de m'inviter lorsque vous en ferez l'annonce officielle lorsque cela se produira et mais permettez moi d'en douter malheureusement.

mardi 10 avril 2007

Projet de restauration environnementale des cellules 1 et 3 des baies du secteur 103 de la zone portuaire de Montréal

Une rencontre a eu lieu le 2 avril dernier avec les membres du conseil de la Ville de Montréal-Est et le groupe de restauration formé par l’Impériale, Shell Canada et Xstrata ainsi que l’Administration portuaire de Montréal à la salle des comités de l’Hôtel de Ville de Montréal-Est au sujet de l’annonce des travaux de restauration des cellules 1 et 3 des baies du secteur 103 situé sur le territoire du port de Montréal ( à la hauteur de la rue Monarque en direction Ouest ). Une soirée « porte ouverte» a également eu lieu à l’Hôtel de Ville de Montréal-Est le 4 avril 2007 de 18h à 20h afin d’en informer la population. « Le projet sera géré de façon responsable afin de protéger la santé humaine et l’environnement et de minimiser les nuisances pour les résidants voisins » selon les responsables du projet. Toutes les mesures sont en place pour accorder la protection de la qualité de l’air, la vie aquatique, la nappe d’eau souterraine ainsi que la réduction des nuisances pour les voisins. Les travaux débuteront dès ce printemps 2007 pour une durée d’environ 10 semaines .

Pour de plus amples informations;

Site Web ; www.grouperestauration103.com
Courriel ; info@grouperestauration103.com

vendredi 6 avril 2007

Sodec - Carrefour Immobilier - RDP / PAT / ME

Je tiens à féliciter Monsieur Jean Gauthier, Directeur général de SODEC et toute son équipe pour la création du carrefour immobilier. J'ai consulté le site ( http://www.sodec.qc.ca/ ) et je peux vous confirmer que c'est une excellente idée de faciliter la recherche de locaux commerciaux et industriels sur le territoire de Rivière-des-Prairies/Pointe-aux-Trembles/Montréal-Est. Cet outil additionnel fera sûrement profiter tous les gens d'affaires du secteur et je vais aviser les principaux responsables de la Ville de Montréal-Est à ce sujet. Bravo à toute l'équipe !!!

Joyeuses Pâques à tous et bonne semaine

vendredi 30 mars 2007

Projet / Pétro-Canada / Usine de cokéfaction / PAT

Une rencontre a eu lieu le 30 mars dernier avec les membres du conseil de la Ville de Montréal-Est et les principaux responsables et experts de la compagnie Pétro-Canada dans les bureaux de PAT concernant la construction de l'usine de cokéfaction à PAT prévue dès sept. 2007. Cela représente un investissement de plus de $ 750 millions dont l'objectif principal est d'augmenter la capacité de production de dérivés de pétrole tout en minimisant l'impact des importations de pétrole brut par bateau et du transport par camion. " Je peux vous confirmer que tous les intervenants de ce dossier s'assurent de la crédibilité de l'ensemble de ce projet et de leurs responsabilités sociales tant au niveau des impacts économiques, de la sécurité publique et de la qualité de vie de tous les citoyens. Il est dans notre intérêt d'aller de l'avant dans ce projet et je demeure convaincu du bienfait de ce projet dans son ensemble "; selon Monsieur Robert Coutu. Merci et bonne journée.